Roots suite
La note précédente a déclenché quelques discussion intéressantes. Vous en retrouverez certains éléments dans les commentaires.
La nouvelle (magnifique) de Cathy complète bien cette modeste note. Pourtant, il y a un aspect, que je crois retrouver à la fois dans son commentaire et dans la nouvelle qui me gène. Etre déraciné, pour moi ne condamne pas au voyage intérieur. La seule condamnation est celle de voyager. Intérieur ou en vrai. On ne peut pas lutter. Tôt ou tard on est rattrapé.
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« Tu verrais cette vie là-bas ! L’élégance des femmes dans la rue !"
Crayon retraité numériquement.
Cette condamnation est elle pour autant négative ? Est-elle une ancre ou même une ancre flottante qui ne fait que ralentir le bateau dans la tempête ? Est elle un phare pour éviter les écueils ou un véritable "moteur créatif" comme le dit Quentin ? Pour moi je ne sais pas. C'est probablement un peu de tout cela à la fois. Ce que je sais, c'est que certains sont bien déboussolés à cause de cette condamnation.